Theron Δ I must sleep, bring me down to sleep

Atwood , Theron
crédits: stayingsunny (tumblr)

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○ turned water into wine

NOM, PRENOM ► Atwood, Theron. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ► 13 avril 1931 en Finlande. ÂGE ► 32 ans. ORIGINES, NATIONALITE ► Naturalisé américain. Il possède des origines Finlandaises par sa mère et Anglaises par son père. FONCTION ► Reporter, section Culture. STATUT ► Marié, mais très volage et avec des mœurs peu recommandables. TRAITS DE CARACTERE ► Bossy, virulent, acerbe, séducteur, déviant, critique, sanguin, secret. POURQUOI THE CHICAGOES ET PAS UN AUTRE MAGAZINE ? ► C'est le magazine que tout le monde lit. Ce magazine est une institution à lui tout seul. C'est le meilleur et que je ne travaille que pour les meilleurs. Il était hors de question que j'aille travailler ailleurs. Je suis rentré alors que je n'avais pas de rendez-vous. J'ai posé mon CV sur le bureau du directeur et je ne suis que sortit que lorsque j'ai signé mon contrat. GROUPE ► Culture.

○ sparkling through the dark night

© Bois du café comme on boit du petit lait. Il ne boit pas n'importe quoi. Il ne boit que du pure arabica. Il commence sa journée avec sinon il n'arrive pas à décoller. Si vous le voyez arriver avec des lunettes noires un matin, c'est que la machine à café chez lui était en panne. Il finit avec. Il aime qu'on lui serve chaud et pas tiède.
© Il a tout du rêve américain, la grande maison en banlieue avec le gazon parfaitement taillé, la piscine où il aime inviter les voisins pour des barbecues le week-end. Tout le conforme moderne. Une parfaite épouse qui lui prépare des magnifiques dîners et qui lui sert toujours un verre de Whisky quand il rentre du travail. Il ne pourrait pas être plus comblé.
© Infidèle. Il est un grand séducteur. Pourtant ce n'est pas avec d'autres femmes qu'il trompe son épouse, mais avec la gente masculine. Il a des mœurs peu recommandables et il le sait. Il est né ainsi et il aurait voulu qu'il en soit autrement. Il aime les femmes et son épouse, mais il ne peut s'empêcher de se rendre dans des hôtels de la ville bien connus pour leur discrétion pour s'y enfermer quelques heures avec d'autres déviants comme lui.
© Theron n'a jamais vraiment connu son père. Il est mort pendant la grande guerre. Il a été élevé par sa mère qui est venue refaire sa vie aux états-unis. Il garde très précieusement chez lui, son arme et ses médailles, mais aussi la chevalière qu'il porte très fièrement à son annulaire.
© Il est marié depuis maintenant plus de dix-ans. Il a deux enfants avec sa femme. Sammy (Samuel) un petit garçon espiègle aux cheveux de blés et Katy (Katherine) une petite rousse qui a peur de tout et qui ne peut s'endormir sans demander un câlin de son papa. Il aime beaucoup sa famille malgré ses mœurs peu recommandables. Il se déteste pour cela et le vit très mal intérieurement.
© Il a une voiture. Il possède une Renault Caravel Chevrolet 1963 - 6v. C'est son petit bébé. Il va au travail avec et il ne supporte pas qu'on touche à sa voiture. Il est maniaque et il l'a bichonne tout les week-ends.
© C'est un bourreau de travail et il peut passer 48h au magazine sans faire de pause. C'est un battant et il ne laisse rien passer. Il demande beaucoup à son entourage, mais il se demande beaucoup aussi.
© Il s'entretient. Il fait du sport. Beaucoup de sports. Il fait de l'aviron. Il fait de la natation, mais aussi de la musculation. Il entraine aussi chaque week-end, l'équipe benjamine de baseball de son fils.

○ he made love a crime

PSEUDO/PRENOM ► Caramouse. AVATAR ► Alexander (sexy) Sharsgard. COMMENTAIRES/DEDICACES ► This is Sparta !

○ footprints in the sand

Je terminais d'enfiler ma veste et de resserrer ma cravate. C'est que je voulais donner l'impression de me rendre à cette convention de presse et non un rendez-vous impromptue en cachette. Je passais par Madly, notre secrétaire mais aussi notre chien de garde, celle qui viellait sur notre troupeau. Elle me regarda à peine trop concentrée sur son vernis. Elle me donnait l'impression de toujours se peindre les ongles, toujours cette même activité avec ce regard vague et le combiné du téléphone coincé sous sa nuque charmante. « J'y vais Madly. Je vous dis à demain. Embrassez votre mère malade pour moi. » Elle m'arrêta et raccrocha le téléphone par la même occasion. J'espère qu'elle n'avait pas du boulot de dernière minute pour moi donner par le grand patron. « Monsieur Atwood ? J'ai eu un appel de votre femme. Elle voulait savoir si vous rentrerez pour le souper ? » Je me montrais nonchalant et je dégainais ma carte de presse. Je détestais cette situation et je me détestais moi-même. « Non. Rappelez-là. Quelle me garde quelque chose au chaud. J'ai encore des gens à voir pour mon papier. Je vais essayer de ne pas rentrer tard par contre. Merci » Madly me sourit. Qu'est ce que je n'aimais pas ce sourire. « Très bien. Je lui dirais... » Elle me regarda alors pour la première fois avec intérêt. Madly me regarda de la tête aux pieds tout en se mordant les lèvres. Peut-être pensait-elle que je l'inviterais un jour pour un café ou plus ? J'avais tout de l'époux infidèle. Celui qui quitte plutôt le travail pour rejoindre la couche d'une autre. Si elle savait ? C'était bien infidèle, cependant je n’arpentais pas du tout les draps de la gente féminine.Je détestais ses pulsions qui grattaient à l'intérieur de mon corps. J'arpentais les couloirs avec cette faim que je n'arrivais pas à satisfaire. J'étais un déviant. Je couchais avec des hommes. Je rentrais dans cet ascenseur et malgré mon goût pour la vie. J'espérais parfois qu'il cède. Je sortais dehors et je ne pouvais m'empêcher de vouloir qu'une voiture me percute. Que ce cauchemar s'arrête. Puis sa voix souffla contre ma nuque. « Salut, handsome. J'adore vraiment ce costume... » Jack se tenait devant moi et sa main essaya de replacer ma cravate. Je la repoussais. Je ne pouvais que montrer ma surprise entremêlé de colère et de honte. « Tu fais quoi ici...On devait se retrouver... » Murmurais-je comme un enfant qui avait peur de se faire gronder. « Je voulais te surprendre. J'aurais pas dû ? » Non, il n'aurait pas dû. J'étais rouge de honte comme si tout les passants savaient ce qu'il avait entre Jack et moi. Qu'ils savaient mes immoralités et ma grand déviance. Je l'attrapais par le bras et je le poussais dans une petite allée. « Il y a mes collègues...Ils pourraient nous voir... » « Du calme ! On fait rien de mal. Tu leur dira que je suis ton beau-frère. » « Oui ! Tu l'es...Et, c'est bien le problème... » Oui, c'était bien le problème. J'avais une aventure avec le frère de ma femme. J'étais un monstre...