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| PARKING › L'immense parking souterrain du journal pourrait sans mal faire pâlir plus d'un concessionnaire automobile tant les véhicules qui sont rassemblés en ces lieux font figure de véritables merveilles. Cependant, qu'il s'agisse de la fine Lotus Elite 14 ou de la plus modeste Henney Kilowatt, nul doute que même ici la hiérarchie continue de régir la vie de tous puisque le statut d'untel définira par exemple l'éloignement plus ou moins conséquent de sa place par rapport aux ascenseurs. Remis à neuf il y a peu, il a par la même occasion été doté de mesures de sécurités supplémentaires. Ainsi, désormais, il vous faudra être doté d'une carte d'accès à votre nom pour pouvoir garer en toute tranquillité votre bolide.
| 0 | 0 | | | ENTREE › Le hall d'entrée du Chicagoes est à l'image du reste du bâtiment : immense et imposant. Des portes automatiques et tournantes permettent par exemple d'y accéder. Doté d'un plafond très haut, la moindre conversation y résonne souvent un peu trop fort et c'est pourquoi il vaut mieux faire attention à ce que l'on y dit. Une fois à l'intérieur, se trouvent sur la droite les bureaux des réceptionnistes qui aiguilleront les nouveaux venus. Au milieu de l'endroit, au sol et entouré d'un parquet parfaitement lisse, une carte de Chicago et de ses différents quartiers testera vos connaissances de Windy City. Les plus sportifs, plutôt que vers les deux ascenseurs se situant en face de l'entrée, se dirigeront vers les interminables escaliers menant aux différents étages où se joue toute la construction d'un magazine aussi complet que l'est le Chicagoes.
| 2 | 8 | i'm sorry but i ... Mer 16 Nov - 17:52 Theo Harlow | | ASCENSEURS › Lieux de toutes les rencontres et des moindres indiscrétions, les différents ascenseurs qui relient les étages sont bien la seule chose qui dénote de tout le bâtiment. Vétustes et donc pas de la toute dernière technologie, ils sont les premiers à tomber en panne et les derniers à recevoir les réparations nécessaires si bien que beaucoup leur préfèrent désormais les escaliers, aussi désagréables puissent-ils être. D'une capacité pourtant importante puisque pouvant accueillir en leur sein vingt-cinq personnes au maximum, ils en sont devenus au fil du temps plutôt déserts. Seuls les plus téméraires ou les plus feignants, c'est au choix, s'y aventurent pour ainsi dire encore.
| 0 | 0 | | | PREMIER ETAGE › Ce premier étage regroupe tous les bureaux des "petits" du journal. Ainsi, dans cette atmosphère empreinte de neurones en ébullition, se trouvent les semblants de bureaux - le terme étant parfois encore trop mélioratif pour certains d'entre eux - des assistants et autres gestionnaires de moindre importance tels les standardistes, par exemple. Organisé de la même manière que les rues de la ville, à savoir en blocs, ce lieu est entouré de grandes fenêtres qui s'apparenteraient d'ailleurs plus à de larges baies vitrées. Les distractions sont donc multiples. Seuls quelques petits paravents séparent chacun d'autrui, de telle sorte qu'ils n'ont souvent qu'une hâte : se retrouver autour d'un café rapidement avalé à la machine à cafés, à quelques mètres à droite des ascenseurs avant de retourner taper sur sa machine à écrire.
| 0 | 0 | | | SALLES DE REUNION
DEUXIEME ETAGE › Ce deuxième et dernier étage rassemble deux types de lieux : les salles de réunion et les bureaux individuels des rédacteurs et rédacteurs-en-chef. C'est un étage véritablement aux antipodes de celui qui le précède puisqu'un calme olympien y règne à toute heure de la journée. A dire vrai, seul le bruit des portes des ascenseurs qui s'ouvrent et se ferment continuellement laissant apparaître des assistants et des imprimeurs affolés perturbe ce silence. Les odeurs de fumée et de whisky y sont fréquentes puisque de par leur statut, les "grands" du journal s'octroient tout naturellement des pauses régulières, sans quoi leurs cerveaux viendraient à coup sûr à trop surchauffer. Chaque bureau étant individuel, la décoration en est tout autant personnelle, qu'il s'agisse de photos de familles ou de pin-ups. Une chose est néanmoins certaine : mieux vaut frapper avant d'y entrer. | 3 | 10 | i never forget y... Mar 29 Nov - 13:09 Prue Hardwest |
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